27/10/2024
Une cuisine mexicaine authentique et maison, une décoration contemporaine et pleine de charme, des dégustations de tequila, Piquin sait comment nous parler. Tapas mexicains ou planche de tacos à composer, vous choisissez ce que vous préférez mais on est sûr que vous vous régalerez.
Le saviez-vous ? Piquin tire son nom d’un piment très puissant qui ne laisse personne indifférent…
25/05/2024
Lyon 3e. Casa Lupita by Piquin
Sandra et Hugo de Piquin vont ouvrir un deuxième restaurant, dans le 6e arrondissement, au 59 avenue Maréchal-Foch : Casa Lupita by Piquin. Le duo de chefs diplômés de l’Institut Paul-Bocuse va proposer un concept de restauration mexicaine, du matin au soir. Ouverture prévue cet été.
05/09/2023
Hugo Boissin n’en revient toujours pas. Le gérant du restaurant mexicain Piquin (Lyon 3e) a reçu la visite, vendredi soir, de Dalton Papali’i, Luke Jacobson et Ethan de Groot. Les trois joueurs de rugby professionnels, dont leur légendaire équipe de Nouvelle-Zélande est basée dans la capitale des Gaules pour la Coupe du monde , ont profité de leurs quartiers libres pour venir partager un repas au sein de son établissement.
Une agréable surprise
« Ils sont arrivés vers 20 heures, sans réservation. Comme ils portaient un chapeau, je n’ai pas réussi à les reconnaître tout de suite », avoue le restaurateur....
04/09/2023
Trois joueurs des All Blacks, présents pour la Coupe du monde de rugby, ont mangé au restaurant mexicain Piquin de Lyon, vendredi soir. Le patron, grand fan de l'ovalie, témoigne.
Trois joueurs des All Blacks ont mangé au restaurant mexicain Piquin, à Lyon, vendredi soir.
Hugo Boissin, patron du Piquin à Part-Dieu, a encore des étoiles dans les yeux. Trois joueurs des All Blacks, dont le camp de base est à Lyon, sont venus manger dans son restaurant vendredi soir après la présentation à l’hôtel de ville.
Le restaurateur raconte cette soirée mémorable à actu Lyon.
Trois joueurs des All Blacks viennent à l’improviste
« Ils ont mangé pour douze, ils se sont éclatés, explique Hugo Boissin. Ils ont pris des tacos et beaucoup de quesadillas, guacamole et nachos. Quand on fait plus de 100 kg de muscles, c’est logique. Je pense que c’était leur dernière sortie avant de se concentrer à fond. »
Les troisièmes lignes Dalton Papali’i, Luke Jacobson et le pilier Ethan de Groot se sont régalés dans ce restaurant mexicain avant d’affronter le XV de France, vendredi 8 septembre, pour le match d’ouverture de la Coupe du monde de rugby 2023.
Le propriétaire des lieux ne s’attendait à leur venue. « On a l’habitude d’avoir des rugbymen avec ceux du Lou qui sont souvent là, mais eux sont venus au débotté. C’est leur hôtel ou le service de sécurité qui leur a conseillé ».
31/08/2023
Piquin est le nom d’un petit piment fort, très utilisé dans la cuisine mexicaine. Mais rassurez-vous, chez Piquin, restaurant mexicain à Lyon 3, vous n’aurez pas la bouche en feu. Prêt à vous téléporter au Mexique ? Dès l’entrée, le cadre coloré donne le ton, avec un joli bar central et un portrait de Frida Kahlo qui veille sur la salle. L’accent chantant de l’équipe et les bonnes effluves de la cuisine complètent le tableau. J’ai alors hâte de découvrir le menu de Piquin !
JAMAICA ET COCKTAILS BIEN DOSÉS
En ouvrant la carte des cocktails, cette chère Margarita m’interpelle. A la base c’est un cocktail avec tequila, triple sec et citron vert. Chez Piquin, elle se décline en plusieurs couleurs : mangue, tamarin, concombre… Pour un goût plus fumé, j’ai commandé le cocktail Pasión en base Mezcal. Et j’ai beaucoup aimé le bon dosage de purée de fruit de la passion, citron vert, mezcal et sirop d’agave. Servi avec un peu de tajin sur le bord du verre comme au Mexique, pour apporter un léger piquant salé au moment de tremper ses lèvres.
Et puis en plus des 6 Margaritas, la carte propose aussi des créations maison. Du cocktail fruité Tampico ice tea (tequila, pêche, tamarin, citron vert) au plus chargé Pina dry (tequila, mezcal, vermouth, ananas, citron vert, chartreuse). Entre les 2, le cocktail Frida est surprenant : un savant mélange de tequila, pampelle (liqueur de pamplemousse), jus de pastèque, jus de pêche et citron. Un cocktail d’été très apprécié ! Pour un cocktail sans alcool, prenez une Agua de Jamaica : une infusion de fleurs d’hibiscus très rafraîchissante, qui rappelle les vacances
GUACAMOLE ET TACOS COMME AU MEXIQUE
Et pour accompagner ces cocktails, le guacamole de Piquin est top ! Servi avec des totopos maison (chips de tortillas), il est gourmand sans être piquant. Une bonne introduction à la cuisine mexicaine…
Pour la suite, plusieurs possibilités. La première est de choisir une rangée de 3 ou 4 tacos de différentes sortes pour mieux apprécier le savoir-faire du restaurant. La deuxième est d’opter pour un plat traditionnel mexicain en version terre, mer ou végé : chilaquiles, quesadillas, aguachile de poulpe, tostada de thon… Dans les 2 cas, les saveurs du Mexique sont bien au rendez-vous !
Chez Piquin, j’ai un penchant pour les tacos (les vrais). De petites tortillas de maïs faites maison, accueillant une généreuse garniture au choix. Et je les trouve tous exquis ! Le taco de cabillaud frit avec avocat et mayonnaise (pescado) est croustillant. A côté, le taco d’effiloché de porc mariné à l’axiote et orange (cochinita pibil) est légèrement sucré-salé. Tout comme celui au porc grillé et ananas (pastor). Avant de finir avec le plus cochon : le taco bœuf, chorizo mexicain et fromage (campechano).
3 DESSERTS À TESTER CHEZ PIQUIN
Enfin, pour terminer sur une note sucrée, Piquin fait 3 bons desserts que je valide ! Tout d’abord, le gâteau tres leches, un classique de la cuisine mexicaine. Une moelleuse génoise imbibée de 3 laits (lait, lait concentré et crème), gourmande sans être écœurante ! En parlant d’être imbibé, une alternative au dessert peut être de déguster 3 Tequilas ou 3 Mezcales.
Autre dessert régressif, les churros. Bien chauds et croustillants, ils sont ici nappés d’une onctueuse sauce chocolat dulce de leche. Et lors de ma dernière visite, j’ai beaucoup aimé le cheesecake. Sa texture est fondante sans être trop dense comme le traditionnel New York cheesecake. Avec un coulis de mangue qui apporte une pointe de fraîcheur fruitée.
Au final, tout est savoureux et la note ne pique pas chez Piquin : comptez 10 € pour un cocktail, 7,50 € pour le guacamole, 12,90 € pour 4 tacos et 6,50 € pour le dessert. Une adresse qui tient sa promesse de faire voyager les papilles au Mexique, avec un service rapide et amical.
16/06/2023
Lyon 3e. Piquin, repaire de tacos
Quand Piquin a ouvert en 2016, c’était la première taqueria de Lyon (établissement spécialisé dans les tacos). La cheffe Sandra Alvarez, elle aussi passée par l’Institut, propose de garnir ses galettes avec un porc mariné, du poisson, du poulpe, un bœuf cuit à basse température, des légumes ou du cactus.
Les entrées, pleines de fraîcheur, sont idéales pour se mettre en jambe, parmi lesquelles l’indémodable ceviche ou l’aguachile de pulpo (poulpe mariné avec concombre et salsa verde). En dessert, le tres leche est parfait pour clôturer en beauté son repas.
Piquin, 16 rue d’Essling.
Du lundi au vendredi de 12 h à 14 h 30 et de 19 h 30 à 23 h 30 ; samedi de 19 h 30 à 23 h 30.
Tarif. Entrées : de 7,50 à 13 euros. Tacos : 4 à 12,90 euros. Desserts : 6,50 euros. Trio de dégustation de Mezcal : 16,50 euros.
25/08/2016
Il a ceux qui mettent du beurre dans les épinards et puis il y en a d’autres qui mettent du piment dans leur restaurant. C’est le cas de Sandra et Hugo à la tête de Piquín, une adresse délibérément piquante mais surtout attachante.
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Margarita : tequila, concombre, chile de arbol (piment) – La version fraise, citron vert et Cointreau est toute aussi renversante !
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Nachos avec des totopos maison.
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Forcément, il sévit ici le ceviche !
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Quesadillas : chaussons fourrés au fromage, accompagnés d’une sauce verte très très caliente.
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Toute la carte des tacos !
Comme le ferait un condiment, ce repaire vient assaisonner les soirées des lyonnais. Ca commence déjà avec la margarita dont on aimerait avoir une perfusion à profusion. Il y a la classique sur laquelle il ne faut pas faire l’impasse mais également celle à la fraise qui ressemblerait presque à un dessert. Vous n’en saurez pas plus, mystère… Et puis arrivent les nachos. Cette spécialité qui m’était totalement étrangère. Dans l’assiette, des totopos. Totopos… TO-TO-POS. Ca relève du hakuna matata qui vous donne le smile rien qu’en le prononçant. Essayez, vous verrez ;) Les totopos donc. Petit topo. Nous les connaissons dans leur version industrielle que l’on a tous achetée un jour pour les tremper dans du guacamole. Dans ces nachos, les totopos (fait maison) sont recouverts de fromage fondu, de guacamole et de purée de haricots rouges. Le genre de plat qui donne envie de réclamer la nationalité mexicaine sur le champ et de dévorer toute la carte du restaurant. Au taquet sur les tacos, impossible de faire un choix parmi les 14 versions. Bah oui, quand tu ne sais pas te décider, autant tout commander ! Me gusta mucho le « carnitas » au porc confit, oignons et coriandre, mais aussi le « mole » au poulet, sauce épicée et chocolatée. Quant à certains, j’étais pas loin de composer le 18 pour un départ d’incendie ! Pour finir sur un peu d’indulgence, les desserts jouent le jeu plaisant de la simplicité avec une glace à la mangue, des petits beignets et un peu de dulce de leche. Le détail qui ajoute du piment sur le feu ? Les prix vraiment tout doux, contrairement à certains plats, ahaha ! Alors, on tape dedans. On mord dedans. Et surtout, on tire son sombrero à Sandra et Hugo.
24/05/2016
Dépaysement garanti : il faut s'enfoncer en plein 3e ; South Part-Dieu. En venant de la rue Paul-Bert, on passe via un porche, sous un immeuble qui fut moderne, pour rejoindre la rue d'Essling. C'est ici, à la place d'un ancien resto steak-frites, que l'on trouve le tout chaud Piquín. Décor bariolé-mais-sobre, chaises dépareillées, tables indus', et cuisine mexicaine — pas Tex-Mex, précise le gérant. Lui, c'est Hugo, ex-institut Paul Bocuse, où il rencontra sa compagne Sandra. Elle, qui vient du Mexique, donc, cuisine.
En entrée, un ceviche, du guacamole ou un roboratif plat de nachos : haricots noirs, avocat, fromage fondu, le tout sur des tortillas frites. Les galettes de maïs sont faites sur place, et servent de base aux spécialités maison, les tacos. Pliées en deux, elles accueillent des farces variées : porc mariné achiote-jus d'orange ; bœuf cuit tout doucement, aux tomates fraiches et piment ; merlan frit et chou cru ; poulpe entier grillé dans une sauce verte pimentée...
À manger avec les doigts, au risque pour les néophytes d'en mettre partout... Le dessert pas cher change souvent, par exemple l'alléchant baba au mezcal, ananas rôti.
Enfin, on vient aussi au Piquín pour ses bouteilles : de tequila, 100% agave, "blanches" ou vieillies en anciens fûts de bourbon ; de mezcal de Oaxaca, cuit au feu de bois ; de bières, comme la Cucapá ; voire même de vin, comme le Minervois bio de Taillandier.
09/04/2016
La cuisine de Sandra Alvarez mérite une halte gourmande. A découvrir notamment les délicieux tacos, avec une bière artisanale mexicaine.
Dans sa petite cuisine ouverte, la Mexicaine Sandra Alvarez, diplômée de l’Institut Paul Bocuse, reste très concentrée pour réaliser une cuisine authentiquement colorée et ensoleillée, à déguster en plats à la carte et en tapas à partager.
Tous les tacos sont fabriqués à partir d’une pâte à tortilla “maison”, à la farine de maïs et garnis d’ingrédients variés, bien préparés. Le plus pimenté, mais délicieux, c’est le tacos au poulpe grillé, mariné à la sauce épicée et avocat. Le tacos chorizo grillé, pommes de terre, oignons caramélisés, coriandre et chicharron, est également bien typé. Sandra Alvarez propose toujours un tacos au poisson, chou et avocat, comme celui dégusté avec du merlan frit, peu gras. Le tacos végétarien, à base de légumes de saison et cactus, est subtil. Vous le retrouverez en permanence à la carte. Parmi le choix d’entrées, le ceviche (notre recette ci-dessous) procure beaucoup d’émotions gustatives. Ce poisson du jour citronné était un cabillaud cru, doublement savoureux avec la pure bière ambrée Ocho Reales Ale. N’hésitez pas, en outre, à commander les vermicelles à la mexicaine (fideo seco), pimentés juste comme il faut… La prochaine fois, on testera les tentants nachos, confectionnés avec passion. Le dessert du jour conduit au péché de gourmandise, ma foi ! On a tout à fait aimé le gâteau au chocolat intense, mousse confiture de lait.
Sandra Alvarez officie en osmose avec Hugo Boissin, également diplômé de l’Institut Paul Bocuse. Aux fourneaux le matin, il passe ensuite en salle. Que vous conseillera-t-il sans doute ? D’accompagner votre repas avec l’une des tequilitas (quatorze variétés et bientôt, une vingtaine), une bière artisanale mexicaine, ou alors un cocktail à base de tequila ou de mezcal. Coup de chapeau au Piquin.
15/03/2016
Lyon (69) Hugo Boissin et Sandra Alvarez, tous deux diplômés de l'Institut Paul Bocuse, proposent une cuisine mexicaine traditionnelle autour d'un plat populaire : les tacos.
Diplômés d'un master en management culinaire de l'Institut Paul Bocuse, Hugo Boissin et Sandra Alvarez ont souhaité tenter l'aventure de l'entrepreneuriat après leurs études. Hugo Boissin a déjà une première expérience en la matière avec Toque-Toque, un concept innovant de cuisine nomade via un triporteur créé en 2013. Mais cette fois, c'est avec sa compagne mexicaine qu'il lance cette nouvelle affaire à Lyon. "Notre objectif est de proposer une cuisine authentique et traditionnelle telle qu'on la consomme tous les jours dans la rue au Mexique", assurent les jeunes gérants. Ainsi, le concept de Piquin repose essentiellement sur un plat très apprécié au Mexique : les tacos. Autre spécificité du restaurant : les tortillas (galettes de maïs) sont faites maison, comme l'ensemble des préparations (sauces, chorizo...).
Déclinaisons de tacos
Pour varier les plaisirs, les gérants proposent plusieurs assortiments de petits tacos (panaché de 3 à 9 €, et de 4 à 11 €), garnis avec des recettes typiques : porc mariné à l'achiote (un condiment mexicain) et jus d'orange, poulet à la sauce épicée et chocolatée, chorizo grillé et oignons caramélisés, boeuf au pico de gallo... Quelques spécialités en entrée (guacamole, ceviche, enfrijolada..) et un plat du jour mexicain ou français complètent l'offre du restaurant. Côté boissons, les gérants jouent également la carte du Mexique, avec plusieurs bières du pays dont certaines sont artisanales (Cucapa, Ocho Reales...), mais aussi un large choix de tequilas (de 4 à 19 €) et de cocktails traditionnels à base de tequila, mezcal ou rhum local. Un vin mexicain devrait prochainement enrichir la carte. "On pense faire évoluer le concept avec de temps en temps un dîner spécial à 4 mains où l'on proposerait une cuisine fusion entre deux cultures" déclarent les gérants. Quelques jours seulement après leur ouverture, le concept a déjà séduit la clientèle de ce quartier d'affaires de Lyon.
07/03/2016
Ça y est, je l’ai trouvé mon repaire hipster dans ce quartier un peu boudé par la branchitude qu’est le quartier Part-dieu/Garibaldi dans le 3ème. Bon, je sais, j’exagère un peu. Et à y regarder de plus près, j’hésite. Hipster/pas hipster ?
Piquín, c’est surtout un petit resto/bar à tapas mexicain de quartier. Et à peine ouvert, il a été pris d’assaut le midi par les travailleurs des bureaux du quartier et le soir, par les voisins, comme moi. Il propose le midi une cuisine mexicaine maison pour les gens pressés (à venir, bientôt un plat du jour en plus des tacos) et le soir, il se transforme en bar à tacos avec cocktails, dégustation de téquilas et ambiance caliente.
Pour la petite histoire, le piquín est un piment plutôt fort ; sur une carte de resto, vous le verriez classé Very hot. Vous êtes prévenus !
Pourquoi c’est branchouille ?
Des coussins ethniques, un cactus en porcelaine so kitsch, so cute, des chaises couleur piment (rouge, oui, bon ok). Pas de doute, la déco est mexicaine, sans lourdeur, par petites touches intelligentes et esthétiques (la décoration a d’ailleurs été en partie conçue avec le magasin Hyggelig).
Mais c’est un Mexique hipstéro-européanisé : du bois brut et clair pour les tables, des chaises en rotin, des tabourets indus’, une guirlande d’ampoules…
La carte des boissons est bien travaillée, revoilà le jusqu’au-boutisme soigné du hipster, avec des bières mexicaines blonde, rousse ou aux doux accents de miel à 5€ . Et surtout, des téquilas à foison et des cocktails à 8€ au mezcal ou à la téquila goutus, colorés et très originaux.
Pourquoi c’est pas branchouille ?
Si le patron est un hipster, il le cache bien : barbe de 3 jours plutôt que bucheronne, tatouage invisible à l’œil d’un(e) inconnu(e).
Lui, un ancien food truckeur, officie au service et fait son Tom Cocktail Cruise mais sans le show. Elle, Mexicaine, assure seule en cuisine avec discrétion et grand sourire.
Dans l’assiette, on est sur une cuisine authentique servie dans les codes modernes. Les entrées, du guacamole, des nachos faits MAISON, un ceviche à tomber, entre 5 et 7€, sont appétissantes et gourmandes. En plat principal, vous composez votre plateau de 3 ou 4 tacos parmi une ribambelle de tacos carnés ou non (bœuf, poulet, porc et un poulpe pimenté). Les tacos sont souples et fins, pas trop gros mais très savoureux avec des garnitures bien moelleuses et des jus de viande à tomber. On mange avec les doigts, la sauce coule de partout, c’est indécent mais délicieux !
Les amateurs de sucré finiront sur le dessert du jour, petit mais à petit prix 3,5€ (ce soir-là, c’était biscuit génoise à la vanille, glace al tres leches).
Petit conseil :
Si vous choisissez le taco au poulpe, ne le gardez pas pour la fin. Il est assez épicé, même si la garniture de purée d’avocat contrebalance agréablement le piment. Vous risqueriez, comme mon compère Anthony, de ne conserver que cette dynamite en bouche. Dommage de terminer sur un Aïe Caramba plutôt qu’un Ay Caramba !
En bref :
Pour un peu moins d’une vingtaine d’euros le midi (entrée + panaché de tacos + bière) et une trentaine le soir (entrée + tacos + cocktail), on s’envole au Mexique, sans risque de Zika.